
Les 7 pièges du télétravail à éviter
L’organisation de votre entreprise évolue et vous vous êtes mis d’accord avec votre supérieur hiérarchique pour travailler de chez vous ponctuellement. C’est le moment de lui prouver qu’il a pris une belle décision…
Une enquête Ipsos publiée début novembre 2016 en atteste : 65 % des employés français dans un bureau sont intéressés par le télétravail ou le travail nomade. Cela dit, ils sont 51 % seulement à trouver que le travail à distance est bénéfique en matière d’efficacité et de productivité. Et si ces 7 astuces pour éviter les pièges du télétravail faisaient changer d’avis les sceptiques ?
« Je n’ai pas besoin de m’habiller »
Oui, dans l’absolu, on ne peut vous contredire. Sauf que votre interlocuteur sur Skype risque de ne pas être ravi. Et surtout, un mental épanoui passe aussi par une bonne image de soi. Optez pour une tenue décontractée, soit, mais surtout pas négligée.
« Je travaille quand je veux durant la journée »
Un planning aménagé pour rattraper le retard, OK, les horaires extensibles à merci, hors de question ! Pour préserver votre équilibre vie privée – vie pro, imposez-vous des créneaux horaires à ne pas dépasser, ainsi que des pauses revigorantes, si possible à l’extérieur (voir point 4). Essayez de rester joignable lors des plages horaires que vous avez définies avec votre employeur.
« Je peux aller tout le temps sur Facebook »
Les réseaux sociaux ne facilitent pas le travail, tant ils offrent de tentations. Si vous le pouvez, coupez Internet, profitez-en pour vous aménager de véritables pauses riches en réflexion, rédaction manuscrite, voire méditation.
« Je peux bosser dans mon lit »
Et tant qu’à faire, on vous y apporte le petit-déjeuner sur un plateau… Votre dos en souffrira un peu. Pourquoi ne pas plutôt vous octroyer une raisonnable micro-sieste limitée à 10 min, en cas de coup de pompe ? Et surtout, si vous sentez que votre attention pour votre travail manque, aérez-vous, sortez. Le temps utilisé pour vous ressourcer sera d’autant plus bénéfique – alors on arrête de culpabiliser quand une pause s’impose.
« Je vais pouvoir téléphoner tranquillement »
Dans le calme absolu de votre appartement, une conversation téléphonique – uniquement à caractère professionnel bien sûr – devient plus aisé qu’en open space évidemment. Par contre, essayez de ne pas garder votre téléphone portable sous les yeux : vous n’imaginez pas le nombre de fois durant lesquelles vous le scrutez sans raison apparente. Mettez-le en mode silencieux ou même éteignez-le dès que vous avez besoin de vous absorber dans votre dossier.
« J’aime bien avoir la télé allumée »
Préférez écouter de la musique ou une radio aux sons apaisants et qui ne perturbera pas votre travail. On vous recommande TSF Jazz, Fip ou Radio Classique, plutôt que NRJ ou Ouï FM, un peu trop remuantes ou riches en conversations peut-être…